dimanche 2 septembre 2007
mignon de l'automne
Le beau gosse de cette rentrée c'est lui!!! Penn Badgley joue l'un des personages principaux de GOSSIP GIRL, nouvelle série de Josh Schwartz "mr the O.C.". La coupe ouistiti lui va à ravir. Dan est donc "artistic" et "loner"... Forcément un gay refoulé? On peut juste regretter que les autres acteurs de la série ne soient pas à la hauteur. Dan le rebelle, le Ryan Atwood 2007?
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samedi 1 septembre 2007
Ma série canadienne préférée
LE COEUR A SES RAISONS
SAISON 2 EPISODE 1: L'héritière des Montgomery
"Brenda Montgomery", la soeur de deux jumeaux Brad et Brett, ennemie de Criquette Rockwell est accessoirement jouée par un homme. Elle est malgré tout mannequin professionel international débarquée à Saint Andrew pour prendre contrôle de la Montgomery Internationale. Brenda est belle, elle est femme et sa beauté est si dangereuse que des lunettes de soleil ne sont pas de trop. Et puis elle chantonne souvent pour accompagner sa présence d'une sorte d'auto-accompagnement de louanges.
"métamorphose de rêve, vous pleurerez d'émotion" suivi d'un "résultat de beauté qui dépasse toutes les attentes même les plus exigeantes". Brendaaaaaah comme elle dit c'est Mylène Farmer sous cortisone, un top model dans "Massacre à la tronçonneuse", le Bois de Boulogne à Montréal ou une danseuse du ventre de 200 ans...
SAISON 2 EPISODE 1: L'héritière des Montgomery
"Brenda Montgomery", la soeur de deux jumeaux Brad et Brett, ennemie de Criquette Rockwell est accessoirement jouée par un homme. Elle est malgré tout mannequin professionel international débarquée à Saint Andrew pour prendre contrôle de la Montgomery Internationale. Brenda est belle, elle est femme et sa beauté est si dangereuse que des lunettes de soleil ne sont pas de trop. Et puis elle chantonne souvent pour accompagner sa présence d'une sorte d'auto-accompagnement de louanges.
"métamorphose de rêve, vous pleurerez d'émotion" suivi d'un "résultat de beauté qui dépasse toutes les attentes même les plus exigeantes". Brendaaaaaah comme elle dit c'est Mylène Farmer sous cortisone, un top model dans "Massacre à la tronçonneuse", le Bois de Boulogne à Montréal ou une danseuse du ventre de 200 ans...
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ma série pour ados de 13 ans préférée
THE O.C. SAISON 1 ÉPISODE 4: THE DÉBUT
Le génie de la première saison de the O.C. (Newport Beach pour les acharnés qui ont réussis à voir la série en France) vient de la perfection du casting, de la simplicité naïve de l'intrigue et de l'humour que Josh Schwartz insuffle à beaucoup d'épisodes. Elements qui d'ailleurs disparaissent mystérieusement dès la seconde saison...
Dans The Debut, la trop belle Mischa Barton enfile la plus érotique des robes, une espèce de robe de bal agrémentée de bretelles de soutien-gorge dans le dos, et change d'avis 75 fois avant d'aller au bal des débutantes. Cette version wasp de notre bon vieux univers Neuilly-rallye-bourgeoisie a la saveur américaine d'une pub Ralph Lauren, le goût d'un Marlboro menthol light et un doux parfum adolescent Calvin Klein. Ryan, le gars des bas-fonds, "Chino" comme le surnomme le quaterback d'Orange County (oc) est épris d'elle mais son orgueil de mâle viril de 16 ans (ajoutez 7 pour l'acteur jouant le rôle) l'empêche d'exprimer son affection. Mais dans ce conte de fée à conduite assistée, le dur enfile sa veste de chef d'orchestre et ses gants de Mickey pour entamer un pas de valse. Tout cela finit en bagarre générale dans le saloon... Et toute cette première saison suit plutôt scrupuleusement ce schéma quasi-musical: Mischa pleure, Mischa a une belle robe, Ryan grogne, Ryan se calme, une fête est organisée et tout finit en pugilat ou consternation générale. Les boutades et chassé-croisés de leurs amis apportant le ressort comique indispensable. L'hautaine et superficielle Summer harcelée par Seth Cohen, un Woody Allen sauce 85, incarnation même du nerd. Tout cela se résume à une farce médiévale, la princesse, le paysan, le bouffon, la servante; c'est tout le schéma du théatre classique en série pour teenagers. Ces petits adultes conduisent de grosses bagnoles et sombrent dans la folie, la violence, l'alcool, fuguent, pratiquent la bigamie mais goûtent assez peu le sexe (âge oblige bien sûr). Le monde magique de O.C. nous plonge dans un glamour rétro hollywoodien où le mal vient toujours des banlieues, la brutalité est de naissance et les mexicains sont très pauvres. Comme un retour aux années 50 avec tout ce que cela comprend de préjugés. Et cet épisode en est le parangon dans son décorum parfait et sa jeunesse blond and beautiful!! Barbie est une alcoolique anorexique et Ken un déliquant mineur avec un collier ras de cou, welcome to the O.C.!
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Mon mauvais film préféré
ALONE IN THE DARK (2005, USA)
Souvenons-nous de ce nom: Uwe Boll. Non pas pour son étrange consonnance mais parce que je fais le pari qu'il est promis à une longue carrière et à une célébrité foudroyante.
"Alone in the dark" est un jeu vidéo que je ne connais pas. Mais la version filmée est déjà une référence que Tarantino eut été inspiré de visionner avant de commettre son malheureux grindhouse. Nous somme face tout simplement à un modèle du 21ème siècle de la série Z. Une 27ème lettre de l'alphabet serait à l'étude même. Prenez trois acteurs ratés sortant de rehab et mettez Christian Slater en tête d'affiche. Des "Alien" en 3D menacent le monde mais heureusement ils ont peur de la lumière. Ces monstres ont la faculté de reproduire de façon mimétique des scènes de films que nous avons déjà vu 1000 fois. Mais grâce à des acteurs, moins vus récemment eux, tout cela s'équilibre.
Les dialogues ont l'intensité de ceux de la Menace Fantôme et ils sont recouverts de death métal. Les scènes d'action sont intégralement dans le noir. Les scènes de jour sont assombries par les faciès de Christian Slater et Stephen Dorff.
Le jeu des créatures en image digitale est vraiment convaincant avec un grand panel d'émotions et beaucoup de sensibilité. Les acteurs sont baclés en revanche par manque de moyens visiblement, on voit trop les pixels."Alone in the dark" est tout simplement le premier film numérique à intégrer des acteurs réels, on excusera donc la maladresse de leurs scènes
un exemple de l'intensité de ce film
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Souvenons-nous de ce nom: Uwe Boll. Non pas pour son étrange consonnance mais parce que je fais le pari qu'il est promis à une longue carrière et à une célébrité foudroyante.
"Alone in the dark" est un jeu vidéo que je ne connais pas. Mais la version filmée est déjà une référence que Tarantino eut été inspiré de visionner avant de commettre son malheureux grindhouse. Nous somme face tout simplement à un modèle du 21ème siècle de la série Z. Une 27ème lettre de l'alphabet serait à l'étude même. Prenez trois acteurs ratés sortant de rehab et mettez Christian Slater en tête d'affiche. Des "Alien" en 3D menacent le monde mais heureusement ils ont peur de la lumière. Ces monstres ont la faculté de reproduire de façon mimétique des scènes de films que nous avons déjà vu 1000 fois. Mais grâce à des acteurs, moins vus récemment eux, tout cela s'équilibre.
Les dialogues ont l'intensité de ceux de la Menace Fantôme et ils sont recouverts de death métal. Les scènes d'action sont intégralement dans le noir. Les scènes de jour sont assombries par les faciès de Christian Slater et Stephen Dorff.
Le jeu des créatures en image digitale est vraiment convaincant avec un grand panel d'émotions et beaucoup de sensibilité. Les acteurs sont baclés en revanche par manque de moyens visiblement, on voit trop les pixels."Alone in the dark" est tout simplement le premier film numérique à intégrer des acteurs réels, on excusera donc la maladresse de leurs scènes
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